El regne perdut. Quatre historiadors a la recerca de la identitat valenciana

2005, 162 pp.

L’évocation du Moyen Âge, dont le moment fondateur était à la formation du royaume de València, a été l’un des référents les plus significatifs à l’heure de construire l’identité valencienne contemporaine. À partir de l’œuvre de quatre historiens si emblématiques comme Teodor Llorente, Josep Martínez Aloy, Josep Sanchis Sivera et Joan Beneyto, on peut offrir une vaste panoramique des interprétations qu’on été faites du passé médiévale, dès du moment culminant à la Renaissance jusqu’à la vieille de la Guerre Civile. Il s’agit de visions d’auteurs éminemment conservateurs, d’un valencianisme plus ou moins consistant, qui couvrent un étendu spectre chronologique et idéologique qui comprend dès le libéralisme de la Restauration jusqu’à l’époque de la crise de la démocratie, aux moments les plus convulsés de la Deuxième République. Dès le point de vue actuel, le royaume – c’est à dire, l’identité valencienne – qu’ont recrée ces historiens a une image reconnaissable, mais bizarre à la fois, parce que les contours de cette narration-là du passé, ils ne coïncident plus avec la vision qui donnent les historiens actuels. Cependant, se rappeler de la manière que ces vieux érudits-là imaginaient le passé fondationel du pays, et comprendre pourquoi le faisaient comme cela, peut contribuer à nous expliquer les lumières et les ombres de notre présent.