Art & Co. La màquina de l'art

2003. Prologue de Manuel Guerrero, 204 pp.

Pilar Parcerisas participe du discours fragmenté, complexe et transversal que caractérise la postmodernité. Chaque semaine, tout au long des années, avec un format bien structuré, Parcerisas a crée un discours cohérent tissé à partir de nombreux fragments. La somme des pièces nous permet d’entrevoir une grande mosaïque qui, comme un « work in progress », aspire à nous donner une image subjective de l’art actuel, dans ses multiples manifestations, par moyen d’un discours critique ouvert que combine le positivisme avec analyse sociologique et structurale. Sans doute, il bat dans son projet journalistique et d’essai la volonté de relier avec le discours totalisateur sur l’art catalan qui, malgré les difficultés de toute nature qu’on pourrait attendre, tenta de construire Alexandre Cirici avec son œuvre.